Sarah J. McCallister : The truth about the lying game...

Écrivez votre histoire ici Du plus loin que je me souvienne, ma vie a toujours été comme un conte de fée. J'avais un père Avocat et une mère infirmière. Tous les deux, des êtres aimants qui ne tenait qu'au bonheur de leurs deux enfants, moi... et mon aîné Sam. J'étais la petite dernière, la poupée en porcelaine de ma mère. Il ne fallait pas que Sam me touche. Sam avait parfois des comportements erratique et ça posait problème. Il était infiniment jaloux. Il faut dire qu'il a été enfant unique pendant plus de cinq ans avant ma venue au monde, ça peut se comprendre. En vieillissant, tout s'arrangea. Il me fit plus de place, dans la maison... et dans sa vie. J'étais l'enfant prodigue. Celle qu'on acclame et dont on est fiers. J'ai gagné plusieurs concours d'orthographe, de piano et même de gymnastique... et tout ça avant l'âge de dix ans.

En vieillissant, je me détacha de ce genre de choses. Trop timide pour en faire d'autres. Sam m'encourageait. Mes parents aussi, d'ailleurs. Ils étaient légèrement déçus, mais pas Sam. C'est lui qui les a convaincu que c'était peut-être mieux ainsi, que je pourrais me consacrer à autre chose. Lorsque j'entrai au lycée, je me fis toute discrète. Pas question de me faire remarquer ! J'étais bien trop timide. Mon frère ayant redoublé un année, se retrouva en terminale lors de ma première année. Je n'avais que très peu d'amis. Peu, mais au moins, c'était de vrais amis. Je m'intéressais surtout à l'histoire, à la géographie, à la littérature et à l'art. Cela dit, j'avais un don pour tout ce qui s'appelle : Intuition et découverte. J'en ferai plus tard une carrière.

Puis il eu ce jour fatidigue: La tuerie au lycée. Même si je n'avais pas de lien directement avec le tueur, cela a marqué ma vie à tout jamais. Des gens que j'appréciais y ont laissé leur peau. D'autres sont complètements devenues barjots suite à cela. Moi, j'ai décidé que plus jamais quelque chose arriverait comme ça dans ma ville natale.

C'est pourquoi je me suis inscrite à l'université en criminologie. J'ai terminée mes études avec une sacrée bonne note. Cela dit, je ne voulais pas rester dans un bureau a évaluer les risques que tel ou tel chose se produise. J'ai donc fait deux ans à l'école de police afin de pouvoir être fonctionnelle. Depuis ce jour, je suis sur le terrain et j'en mange. Je suis surtout aux crimes majeurs contre la personnes. Donc, s'il vous arrive quelque chose, comme une agression ou que vous êtes victimes de violence conjugale, c'est moi qui y serai.

Aussi, depuis que ma mère a prit sa retraite, elle a ouvert une pâtisserie, en mon honneur : Chez Sarah. J'y passe beaucoup de temps pour l'aider. C'est un buiness familiale, car Sam y fait l'administration.

Décrivez votre caractère iciNovitates autem si spem adferunt, ut tamquam in herbis non fallacibus fructus appareat, non sunt illae quidem repudiandae, vetustas tamen suo loco conservanda; maxima est enim vis vetustatis et consuetudinis. Quin in ipso equo, cuius modo feci mentionem, si nulla res impediat, nemo est, quin eo, quo consuevit, libentius utatur quam intractato et novo. Nec vero in hoc quod est animal, sed in iis etiam quae sunt inanima, consuetudo valet, cum locis ipsis delectemur, montuosis etiam et silvestribus, in quibus diutius commorati sumus.

Constituendi autem sunt qui sint in amicitia fines et quasi termini diligendi. De quibus tres video sententias ferri, quarum nullam probo, unam, ut eodem modo erga amicum adfecti simus, quo erga nosmet ipsos, alteram, ut nostra in amicos benevolentia illorum erga nos benevolentiae pariter aequaliterque respondeat, tertiam, ut, quanti quisque se ipse facit, tanti fiat ab amicis.