Un petit tour [ Vicky & Vincenzo ] dans une loge au '' night club ''

''Un petit tour dans la loge"

Faites la paix mes enfants- Vincenzo Armani

Ce soir était un soir bien particulier pour moi. Bah oui, c'est le premier soir où ma nunuche de femme ne m'a pas demandé où j'allais et avec qui je sortais. Tout d'abord, elle me pense au chevet de ma grand-mère... et qu'elle est mourante. Bon ok, si elle appelle chez mes parents, elle comprendra que je lui ai menti. Il faudra que je pense a remédier à cette situation. Bon, remarque, là je suis plutôt occupé avec mes potes. On vient de terminer la première tourné de shooter de vodka et les plus belles femmes sont à table avec nous. L'une est assise sur mes genoux et disons que je ne me fais pas prié pour lui touché le dos... et les fesses. Bah quoi? C'est elle qui vient s'asseoir sur moi, fallait-y attendre ma petite poupée en sucre. Lorsque ma première tournée de shooter est terminé, une envie pressante me prend. Je quitte alors la table pour aller aux cabinets.

Je passe par le couloir plutôt sombre. une portre est entre ouverte parce que je vois un faiseau lumieux... ouais bon, avec les yeux à moitié clos grâce à ma cuite, vous me direz que c'est normal. Je passe devant et m'arrête. Je vois une brune qui semble se pomponer. Rien de nouveau, elles passent leurs vies à s'arranger en croyant qu'on va vraiment s'en inquiéter... une fois qu'on a ce qu'on veut, on s'en fou que tu sois bien habiller ou bien maquiller. Au même moment elle se retourne et m'apperçoit. Elle me salut. Ai-je vraiment le choix de lui répondre? Je pense que non... « Salut»dis-je tout simplement. J'hausse les épaules et continue ma route jusqu'à la salle de bain... bon j'avais vraiment envie de p*sser... un peu plus et ça allait être sur le plancher. J'ouvre la porte, me précipite vers la toilette. J'ouvre mon jeans...et... je me soulage.

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Faites la paix mes enfants- Vincenzo Armani

Ça doit faire un bon cinq minutes que je suis dans les chiottes. Je me tient au mur avec ma main droite et j'essaie de visé dans le bol... histoire de ne pas faire le pompier. Bon, remarquer, si j'avais a être un cheependale, je serais probablement celui qui se déguiserait en pompier. Après tout, m'avez vous vu le visage et le corps d'appolon que j'ai? Bon bah voilà... Je fini par faire ce que j'avais à faire. Une tournée de shooter, ça commence a être trop pour ma vieille vessie de trente ans bien passé. Je pense qu'il faudra que je me calme. À la place, je prendrai des verres de cognac. Tant qu'à y aller dans les dépenses. Après tout, personne ne surveillait mes dépenses... et surtout pas ma nunuche de femme. Je me dirige vers le lavabo afin de laver mes mains. Je me regarde dans le miroir et fait mon sourire à 10 000$. Ouais bon, je suis légèrement amoché puisque j'ai bu comme un trou, mais personne ne le remarquera, après tout... ils ne sont pas mieux que moi, les autres.

Lorsque je sors enfin des chiottes, ça doit faire dix minutes, peut-être plus, que je suis partie. Je vois une bonne femme assit à notre table. Qu'est-ce qu'elle fait là, celle là? Personne n'est autorisé à s'asseoir avec nous sans MON consentement. J'analyse la venue de la jeune femme. Elle a du culot... Je pose ma main sur l'épaule de mon garde du corps et ami et lui demande c'était quoi le problème. Il me dit que c'était l'idée de Johnny. Je fronce les sourcils et je vois que la gamine va pour partir. Johnny l'attrape par le bras et elle commence a l'appeler ''monsieur Armani''. C'est là que ça en devient trop. Je me met à rire fortement et met ma main sur l'épaule de Johnny et lui dit « Ça alors... Johnny, t'es obligé de te faire passer pour moi pour récolté tes conquêtes, t'es pitoyable... dégage». il baisse les yeux et commence à quitter la table. Je le regarde disgracieusement. Pauvre con, il dégage comme un chien qu'on vient d'abandonné sur le coin d'une rue « Non mais t'es con ou quoi? J'voulais juste que tu réagisse un peu... » Je ris et lui donne une tape derrière le dos. Il faut être dur avec les recrues si on veut qu'elles deviennent bonne. C'est alors que l'autre n'a pas bougé. Elle me regarde encore. « Quoi?» dis-je tout simplement.

''Un petit tour dans la loge"

Faites la paix mes enfants- Vincenzo Armani

La pauvre petite cocotte s'est prit toute une raclée quand je lui ait demandé «quoi». Ouf, vous auriez dû voir sa tête de chiot appeurée. Elle a tout simplement détallée comme un lapin. Pauvre Johnny. Il méritait mieux qu'une pauvre fille qui cherchait à se rendre intéressante. Mais bon, il faut lui apprendre. Après tout, il n'est pas aussi expérimenté que moi. Je vais lui en apprendre des trucs à ce pauvre gamin. Je me rasseoit sur la banquette avec mes potes. Le pauvre Johnny reste à l'écart. Je lui fait signe de revenir. Je ne vais quand même pas plus l'humilier que je ne l'ai déjà, surtout qu'il est tout de même assez sympa. On s'explique et il me dit que cette nana le branche franchement. Je ris un peu dans ma barbe. De ce que j'ai cru comprendre, elle, elle est plus branché par moi, parce que depuis qu'elle a quitté l'enceinte du bar, je la vois regarder non stop à l'intérieur pour voir si je la regarde encore. Ehhhh ma pauvre petite, elle va devoir travailler si elle veut que je la travaille moi aussi sous la couette! Je fini par donner mes plus grands trucs de drague, pour débutant, bien sûr, à mon petit Johnny. Je souris et lui dit que je lui ramènerai la petite demoiselle de tantôt sur un plateau d'argent et qu'il quitterait même le bar avec elle... sans difficulté.

Je sors du bar, je marche un peu croche encore... après tout, j'enfilais les shots depuis tout à l'heure. J'arrive à sa hauteur. Elle ne cesse de me fixer. Ça ne me dérange pas, j'ai l'habitude. Après tout, m'avez vous tout le sexyness que j'ai? Je fini par me raclé la gorge et m'adresser à elle tel un gentleman, même si je n'en avais aucune envie. Elle m'ennuit celle là. « Écoute, excuse moi... tu vois, j'ai pas mal bu et... je ne me contrôle pas tellement». Je me frotte le derrière de tête et ris un peu. «Tu veux venir à l'intérieur? Mon pote te trouve pas mal... et... je voudrais me racheter de lui avoir ruiné sa chance!» En disant cela, je met ma main dans son dos, à la limite des fesses et je la pousse vers l'intérieur. « Une bouteille de vin vous attends sur la table, au fond» lui dis-je avec un clin d'oeil. Une fois qu'elle est rentré, je disparais une nouvelle fois vers les chiottes où une jolie blondie m'attend.

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Faites la paix mes enfants- Vincenzo Armani

En l'espace de 10 minutes, je fais ce que j'ai à faire avec la jolie blonde qui m'attendais sur le bord de la porte des chiottes. Faut dire que j'aime prendre mon plaisir, mais pas forcément en donner aux autres. Je suis comme ça. Il ne faut pas chercher plus loin. Je suis égoïste jusqu'à la pointe des ongles, je suis vicieux et détestable. C'est ainsi que je suis fait. En sortant de la salle de bain, j'espionne au loin mon petit John' qui essaye de se faire l'autre qui pensait avoir une chance avec moi. Je vois qu'il se débrouille plutôt bien, jusqu'à ce que la petite insignifiante lui jette son verre de vin au visage. Elle n'aurait clairement pas dû faire ça. Elle se sauve jusqu'à la salle de bain, et elle fait bien, car elle n'aimera vraiment pas ce qu'elle verra. Elle ressort quelques minutes après et va danser avec des copines, j'imagine. Je m'approche d'elle et me colle derrière elle. Je pose mes mains sur ses hanches et murmure à son oreille « T'aurais pas dû faire ça à John ma jolie.» Je continue de respirer dans son oreille et la serre un peu plus contre moi. Sans doute qu'elle aimait ça parce que je sens sa tête s'appuyer sur mon épaule. Je lui serre la hanche. «Si c'est par moi que tu voulais te faire sauter ce soir, fallait le dire ma jolie.» lui dis-je à nouveau à l'oreille. Je fini par la lâcher et m'éloigner. Bon... elle était clairement facile à mettre dans mon lit. Il fallait simplement que je me remette de ma baise facile des toilettes. Après tout, une de plus une de moins... ça allait juste continuer! J'aimais avoir ce pouvoir de séduction sur les femmes. J'en tirais clairement mon plaisir personnelle.

J'alla m'asseoir avec mes copains et fit une tournée de bière gratuite pour toute la table. Je la regarde de loin. Sans doute était-elle toute émoustillée parce que je vois ses joues rougies. Quand je les lâché, elle avait le souffle court. Bon... ce serait facile de lui faire sa fête...

''Un petit tour dans la loge"

Faites la paix mes enfants- Vincenzo Armani

Je n'ai jamais vu une fille plus bi-polaire que cette chanteuse. Disons que j'avais bien réussit à la cerner. Dès que je l'avais vu avec ses grands airs et ses «monsieurs Armani». Pfff... une fille comme ça est clairement en manque d'attention... et de sexe. Il faut se le dire, je ne peux pas donner d'attention à une fille de la sorte. C'est pas pour rien que je l'ai rapidement virer de bord. Pas question qu'il y en ai une qui s'amourache de moi. Après tout, je n'en avais rien à faire. J'ai déjà bien assez de ma nunuche de femme, s'il faut qu'en plus les filles que je saute soit pareille comme elle... ouf, je ne suis pas sorti du bois. Il faut se montrer honnête. J'aime les femmes qui se montre direct et qui prennent les choses en mains, mais qui laisse une part de mystère. Pas qui me dévoile tout au premier instant comme ça été son cas. Comme si ce n'avait pas été assez suffisant, elle avait humilier mon pauvre petit poulin de Johny. On ne se moque pas de mon jeune protégé, ça va de soit.

J'étais rapidement retourné derrière elle et l'avait empognée et j'avoue que j'avais été assez cru dans mes commentaires. Probablement est-ce que ça l'avait choqué. Je vise juste lorsque je la vois quitter rapidement vers la première fois où je l'avais vue, sa loge. J'aurais clairement pu prendre cela comme une invitation, mais j'avoue que la jolie blonde de tantôt m'a fait ma fête aux chiottes tantôt, va falloir que je reprenne de la vigueur... Après quelques instants je la revois revenir au bar. J'ai bien envie de rigolé, moi aussi... elle a voulu humilier mon petit poulin, elle sera ma pouliche pour la soirée, petite coquinette. Après tout, ne voulait-elle pas se faire prendre...?Et après tout... ce n'est pas ce que je fais de mieux?

Je reste dans la pénombre à l'observer. Je n'allais pas aller vers elle, c'est elle qui viendrait me supplié... et ... nous allons crier notre plaisir charnelle ensemble... juste à me l'imaginer, je me mordille la lèvre inférieur. Vaut mieux pas penser plus loin, cela choquerait sans doute les autres...

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Faites la paix mes enfants- Vincenzo Armani

Quand je disais qu'il fallait savoir attendre que mon quatre heure allait facilement revenir vers moi? Je la vois se diriger vers mon petit poulin de Johnny. J'espérais qu'elle n'allait pas lui foutre encore son verre au visage, le pauvre. Si tel était son désir, elle allait clairement se faire foutre à la porte de ce club. Je connaissais la majorité des membres le cotoyant chaque semaine religieusement... et encore pire pour elle, je connaissais les proprios, alors elle n'aurait plus jamais de contrat et risquerait de devoir aller danser sur des stages avec des petits potos de metals... en tenue légère et là, je serais probablement là a la regarder se dévêtir par plaisir malsain. Je suis ainsi, il ne faut pas s'en faire avec moi. Autant je suis horrible, mais autant je suis attachant et charmant. Enfin, c'est ce que ma pauvre petite femme à la maison me dit. Elle s'approche de moi et m'embrasse littéralement. Et bah voilà... j'avais gagné mon paris contre moi-même. J'allais me la culbuter dans probablement tous les sens et m'en sortir pour pas trop cher. C'est quand même bien. Bon, pas que je sois en manque d'argent... je suis millionaire après tout. Mais je n'aime pas partager ma fortune, sauf avec ma petite femme naive... au moins, elle n'abuse pas de moi, elle. Beaucoup trop en amour avec moi.

Je la laisse quitter le bar seule. Je bois ma bière d'une traite et je fais un clin d'oeil aux autres. Mes hommes savaient très bien ce que ça voulait dire. Il ne fallait pas venir me chercher et me déranger. Je sors du bar à mon tour. Je la vois, au loin, dans le stationnement. Sans doute qu'elle m'attendait. Elle s'imagine sans doute que je l'amènerai à l'hôtel, elles se l'imaginent toutes. Mais c'est ici et maintenant que j'en ai envie. Il faut savoir être téméraire pour que je daigne vous donnez autant de plaisir que j'en prenne. Je l'empoigne par la nuque et l'embrasse en pleine bouche. Je me colle contre elle et descend mes mains dans son dos jusqu'au creux de ses hanches et je la pousse contre la portière de sa voiture. Lorsque, à bout de souffle et haletant, je la lâche, je colle mon front au sien et murmure «Ouvre la voiture... c'est ta fête ma sexy!» dis-je en glissant ma main sur sa fesse et en la tatant. Je l'embrasse dans le cou, histoire de ne pas la refroidir. J'aime quand elles sont chaudes.

''Un petit tour dans la loge"

Faites la paix mes enfants- Vincenzo Armani

La soirée avait plutôt mal débutée avec cette chanteuse. Celle-ci avait prit Johnny pour moi et je l'avais clairement remise à sa place. Je n'en avais pas grand chose à faire d'elle, comme je n'ai pas grand chose à faire de personne. Elle c'était montré assez insistante et je dois avouer que j'aime quand on me regarde et qu'on me veut. Ainsi soit-il, je suis imbu de ma personne et je le serai probablement toujours. La petite tête avait balancer son verre au visage du pauvre Johnny et je l'avais très mal pris. Personne n'a le droit d'humilier mon petit poulin. Ce mec, j'y tiens comme à la prunelle de mes yeux. Il faut être honnête, il n'a pas eu une vie facile et je me reconnais un peu en lui, au même âge... alors je le protège quoi! Disons qu'après cet événement, j'avais montré à la fille qui état le boss...

J'avais été me frotter contre elle et elle ne semblait pas avoir détester puisqu'elle était là, toute haletante. Elle était revenue vers moi un peu plus tard en me suppliant presque de la prendre. Bon, quand on me fait de si belle demande... à quoi bon ne pas lui donner ce qu'elle veut.... et y tirer un bon coup pour moi à la fois. Je sais, je sais... je suis égoiste, mais personne ne s'en ait plain jusqu'à présent.

Je me suis rapidement approcher d'elle et je l'avais embrasser à pleine bouche avant de lui ordonner d'ouvrir la portière de la voiture, ce qu'elle fit. Une fois à l'intérieur, elle enlève sa robe. C'est du rapide ça mon ami! Elle commence à me détacher la chemise et je me rapproche d'elle afin de l'embrasser à nouveau goulumement. Je lui mordille la lèvre inférieur et descend mes baisers le long de sa machoire, sa gorge et j'atteris sur ses seins. Là, je m'y donne à coeur joie. Je les touches et les embrasse à pleine bouche. Je glisse ma main gauche le long de son dos et atteris sur ses fesses. Ma main droite continue de lui empoigner le sein. Ma main gauche se fraye un chemin jusqu'à son entre-jambe et je l'entend soupirer. «Toi non plus....Tu ne sortiras pas d'ici avant d'avoir jouie quelques fois...» lui dis-je en lâchant ses lèvres. Je glisse mes doigts le long de son entrejambe, au travers son sous-vêtements. Je commence à être drôlement dur. «T'as des capotes sur toi?» Bah quoi? J'allais quand même pas me la faire et choper une cochonerie. Après tout, je ne la connais pas. Pendant qu'elle reprend ses esprits, je l'étend sur le siège. Après m'être bien occpé de ses seins, je descend le long de son ventre et ma bouche atterit le long de son entre-jambe, au travers de son sous-vêtement. Je souffle dessus et continue de l'agacer avec mes doigts en même temps...