Un petit tour [ Vicky & Vincenzo ] dans une loge au '' night club ''

''Un petit tour dans la loge"

Faites la paix mes enfants- Vincenzo Armani

J'étais en train de faire sa fête à la fille que mon pauvre Johnny voulait se faire. Je me rendais compte encore plus à quel point je suis une pourriture. Bon, remarque... je voulais surtout donné une leçon à cette fille. On ne s'adresse pas à un Armani de la façon dont elle l'avait fait. c'était complètement stupide et il s'en était fallut de peu pour que je lui fasse sa fête d'une tout autre méthode qui aurait pu etre vraiment dommage pour elle. J'en connasi des mecs pas très net... bref.

Nous étions tous les deux dans cette voiture et il faut avouer que je commençais déjà à avoir très envie. J'avais commencé à la caresser et elle se tortillait de plaisir. Ceci dit, elle commença à me parler de lui faire l'amour? Soudainement mon visage devint dur. Je l'empoigna par les cheveux et approcha mon visage du sien « Y'a pas d'amour là-dedans ma grande... j'pense que t'as pas compris...» Je l'embrassa dans le cou et lui mordilla légèrement. Elle allait clairement avoir une marque rouge. « On baise, c'est tout.» Soudainement, j'avais beaucoup moins envie. Je la lâcha et m'assoya sur le siège et donna un coup sur le siège avant. Comment pouvait-on penser que j'allais lui faire l'amour? Pensait-elle que ça allait être doux et romantique? Pensait-elle que j'allais devenir le père de ses enfants? Pffft. c'est là qu'elle à tout faux. Je soupire et reprend mes esprit. Je rattache ma chemise. À moins d'un miracle, je ne pensais pas me la faire ce soir là.

''Un petit tour dans la loge"

Faites la paix mes enfants- Vincenzo Armani

Non mais vous parlez d'un drôle de numéro cette fille? Elle avait clairement un problème de bipolarité ou de manque d'amour propre. Après m'avoir lècher les bottes en m'appellant ''monsieur armani', avoir accepter l'offre de la bouteille de vin avec Johnny et lui avoir foutu son verre en plein visage...on se retrouve sur le siège arrière de sa voiture. J'étais en train de m'en donner à coeur joie à lui faire toutes sortes de choses coquines quand je l'entends me dire « Fais moi l'amour.» Ouf! C'est qu'elle ne savait clairement pas à qui elle avait à faire. Depuis quand est-ce que Vincenzo Armani faisait l'amour? Il ne fait l'amour qu'à sa femme...et ça, c'est quand il le fait. Plus souvent qu'autre chose, il ne prend que son plaisir et fait semblant de s'endormir avant. Que voulez-vous, je suis ainsi. Je suis incapable d'aimer quelqu'un d'autre que moi-même. J'apprécie énormément Meredith, c'est vrai...mais de là à l'aimer autant que je m'aime? Je ne crois pas.

Elle se rhabille et commence a se repeigner. Tu parles. En plus j'ai même pas l'occasion de reluquer ses seins une dernière fois. En même temps, est-ce que ça m'intéressait? Pas vraiment... quoi que...bon ok. Je suis ainsi. Je pense toujours avec ce que j'ai entre les jambes avant ma tête... c'est pourquoi j'en étais là. Elle sort de la voiture et j'en fais de même. Je commence à marcher et je me dis à moi-même, mais assez fort pour qu'elle entende « Pauvre folle.» et je rentre dans le bar rejoindre mes complices. Il me demande comment c'était. Je ne peux m'empêcher de tout raconter en détail. Tout le monde se met à rire et on se recommande une tournée de Shooters.